Par défaut, elle est accessible à l'adresse 192.168.10.200. Il faut donc faire en sorte que son PC soit sur ce réseau dans un premier temps pour pouvoir y accéder.
Au travers de plusieurs pages successives, on va pouvoir définir les paramètres de base de l'engin.
On fait apply, le switch reboot, et une dois quand on est dans le même réseau que lui, on peut retourner sur la mire de login. Une fois connectée, cela nous amène à l'interface générale, moderne et bien agencée, mais, hélas, pas en français. C'est l'occasion de voir qu'il y a de nombreux menus et sous-menus. On va se focaliser sur certains d'entre eux, les plus susceptibles d’intéresser la majorité des utilisateurs.
C'est l'occasion de voir aussi qu'un mécanisme est prévu pour qu'en cas de problème de mise à jour, on puisse utiliser le firmware précédent. C'est exactement ce qu'on a vu sur certaines cartes mères.
 
La MAJ se déroule tout à fait normalement et on arrive sur la page d'accueil.
Le menu vertical est composé, en plus de l'item Dashboard, des éléments suivants :
Mais dans cette barre d'icônes, il y a une autre icône dont on n'a pas parlé encore. Il s'agit de Hive, et on vous dit tout, page suivante !
						
									
							Setup d'installation
Une fois la connexion réussie, et les identifiants de base saisis, on arrive sur le setup d'installation.Au travers de plusieurs pages successives, on va pouvoir définir les paramètres de base de l'engin.
- Un nouveau mot de mot
 
- La date et l'heure
 
- Les paramètres réseau de base, afin que le switch puisse rejoindre le réseau en place s'il y en a un
 
On fait apply, le switch reboot, et une dois quand on est dans le même réseau que lui, on peut retourner sur la mire de login. Une fois connectée, cela nous amène à l'interface générale, moderne et bien agencée, mais, hélas, pas en français. C'est l'occasion de voir qu'il y a de nombreux menus et sous-menus. On va se focaliser sur certains d'entre eux, les plus susceptibles d’intéresser la majorité des utilisateurs.
Firmware
Mais avant de commencer à prendre en main ce genre d'équipement, il est préférable de partir sur la dernière version logicielle. Dans notre cas, nous avions la 10 02, mais 03 était disponible. Rien de plus simple, il suffit de lancer la procédure automatique de mise à jour.C'est l'occasion de voir aussi qu'un mécanisme est prévu pour qu'en cas de problème de mise à jour, on puisse utiliser le firmware précédent. C'est exactement ce qu'on a vu sur certaines cartes mères.
La MAJ se déroule tout à fait normalement et on arrive sur la page d'accueil.
Ecran principal
La page d'accueil de l'interface de ce switch est architecturée comme bien souvent. On retrouve en haut le bandeau principal, avec les options à droite. La colonne de gauche, quant à elle, contient le menu, et le la partie centrale contient le panneau sélectionné. Par défaut, c'est le tableau de bord (dashbaord) qui est affiché. Il regroupe les informations les plus importantes liées à la configuration et à l'activité.Le menu vertical est composé, en plus de l'item Dashboard, des éléments suivants :
- System. Ici, il y a 18 sous-menus différents, dont certains déroulent encore une demi-douzaine de sous sous-menus. Globalement, ici, on gère la configuration du système d'exploitation embarqué dans le switch, ce qui explique le nom du principal onglet. Cela va inclure la gestion des utilisateurs, la gestion de la sécurité de la connexion à l'interface web de gestion ainsi qu'à d'autres méthodes de connexion et de configuration, la gestion des logs, et la gestion de l'intégration avec d'autres systèmes, via les protocoles DHCP ou SNMP par exemple. 
 
 
 
- Network. Bien évidemment, c'est là qu'on trouve le paramétrage lié au réseau à proprement parler. Là encore, 18 items de base et encore de grandes listes de sous-menus sont disponibles. Les principales options concernent les interfaces physiques, pour notamment savoir les ports utilisés et avec quels débits, sans avoir à se déplacer en personne en face du switch, et détecter d'éventuel souci également. La gestion des VLAN est également très complète. Et le protocole Spanning Tree est lui aussi très configurable.
 
 
 
- QoS. La QoS permet de mettre en place des priorités sur les ports, afin de gérer les flux prioritaires et donc d'assurer, au final, de la Qualité de Service. Plusieurs méthodes sont disponibles, la plus simple permet de donner une priorité de à 1 à 7 sur chaque port. En plus complexe, le switch supporte le DSCP Class Mapping et l'IPC V6 Traffic Class. A réserver aux usages vraiment avancés !
 
- Security : Les menus présents à cet endroit permettent notamment d'activer des méthodes de protection du réseau, par exemple contre des attaques de type Denial of Service.
 
- Tools : Cette section offre des commandes basiques pour rebooter le switch, mettre à jour le firmware ou lancer un diagnostic de ping pour atteindre une machine, mais aussi sur les câbles en eux-mêmes. Il est également possible de backuper l'ensemble de la configuration dans un fichier .bin. La restauration de ce fichier est bien évidemment possible. 
 
 
 
- Save. Cela parle de lui-même : permet de sauvegarder la configuration
Mais dans cette barre d'icônes, il y a une autre icône dont on n'a pas parlé encore. Il s'agit de Hive, et on vous dit tout, page suivante !

 
 

















 
 
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