Voilà, nous avons regroupé la notice et nos différents éléments de mise en place, et nous avons été surpris ! En effet, le SilverStone impose de réutiliser les crochets d’origine de la carte mère. Pour le fabricant, c’est une économie, et pour nous, cela signifie moins de démontage et de remontage. Mais pour un malheureux qui a déjà galéré à fixer les ventirads d’origine d’AMD, cela peut rappeler de mauvais souvenirs.
Nous commençons donc par placer le bracket AMD sur la pompe, en le glissant dans la fente prévue à cet effet. Celui-ci ne bouge pas grâce à un petit ergot qui verrouille l’ensemble. On peut ensuite préinstaller les crochets avec les écrous-ressorts fournis, en effectuant un ou deux tours de vissage pour se laisser du jeu lors de la mise en place. Une fois cela préparé, on passe au radiateur et aux ventilateurs.
On fixe nos quatre longues vis par ventilateur, en faisant attention au sens afin d’éviter un « câble management » inutile. On peut ensuite fixer le tout via les vis courtes directement sur la carcasse du boîtier. Cette partie étant terminée, on repasse au waterblock/pompe en appliquant de la pâte thermique sur le processeur. Sur le papier, cela semble simple, mais l’astuce réside dans le fait de placer d’abord l’anneau supérieur sur le crochet du haut, puis d’appuyer fortement — mais avec précaution — sur l’anneau inférieur pour le placer sur le crochet du bas. Une fois en place, l’ensemble tient tout seul ; il ne reste plus qu’à verrouiller en vissant.
La partie câblage se fait naturellement : on branche la pompe sur un port PWM de la carte mère via l’ergot, ce qui empêche toute erreur de connexion, et cela fonctionnera même si l’un des pins reste libre, celui-ci ne servant qu’à régler la vitesse de rotation de la pompe. On branche ensuite les deux ventilateurs via le doubleur sur le port CPU_FAN, et il ne reste plus qu’à allumer la configuration !
La Machine est en marche, passons au tests !
Nous commençons donc par placer le bracket AMD sur la pompe, en le glissant dans la fente prévue à cet effet. Celui-ci ne bouge pas grâce à un petit ergot qui verrouille l’ensemble. On peut ensuite préinstaller les crochets avec les écrous-ressorts fournis, en effectuant un ou deux tours de vissage pour se laisser du jeu lors de la mise en place. Une fois cela préparé, on passe au radiateur et aux ventilateurs.
On fixe nos quatre longues vis par ventilateur, en faisant attention au sens afin d’éviter un « câble management » inutile. On peut ensuite fixer le tout via les vis courtes directement sur la carcasse du boîtier. Cette partie étant terminée, on repasse au waterblock/pompe en appliquant de la pâte thermique sur le processeur. Sur le papier, cela semble simple, mais l’astuce réside dans le fait de placer d’abord l’anneau supérieur sur le crochet du haut, puis d’appuyer fortement — mais avec précaution — sur l’anneau inférieur pour le placer sur le crochet du bas. Une fois en place, l’ensemble tient tout seul ; il ne reste plus qu’à verrouiller en vissant.
La partie câblage se fait naturellement : on branche la pompe sur un port PWM de la carte mère via l’ergot, ce qui empêche toute erreur de connexion, et cela fonctionnera même si l’un des pins reste libre, celui-ci ne servant qu’à régler la vitesse de rotation de la pompe. On branche ensuite les deux ventilateurs via le doubleur sur le port CPU_FAN, et il ne reste plus qu’à allumer la configuration !
La Machine est en marche, passons au tests !