Globalement, l’AIO est noir et très sobre. Seule la pompe arbore le logo de la marque, en translucide au centre, ainsi que les autocollants blancs sur les ventilateurs qui se démarquent côté coloris. Les ventilateurs sont entièrement noirs, sans ARGB, et ne disposent que d’un seul fil avec un embout PWM mâle. Surprenant, quand les trois quarts des fabricants proposent deux embouts pour un montage en série, mais cela explique aussi la présence d’un doubleur dans les accessoires.
Le radiateur fait 28 mm d’épaisseur, un standard de nos jours, ce qui lui permet de ne pas prendre trop de place dans le boîtier. Il est en aluminium recouvert de noir pour se fondre dans l’ensemble. On retrouve le « fill-port » à côté des tuyaux, eux-mêmes assez espacés en largeur. Les codes-barres du produit se trouvent sur un côté, le même que celui des tubes et du port de remplissage. Rappelons que ce port ne doit être utilisé qu’en cas de perte de performance de refroidissement ou si la pompe commence à produire des bruits suspects.
La pompe présente un top au design travaillé : il n’est pas lisse et possède une texture, avec au centre le logo de la marque dans un carré lisse. Ce logo est translucide, car, comme l’indique le fabricant sur la boîte, la « coque noire avec voyant LED blanc unique » sert probablement d’indicateur de fonctionnement et de touche esthétique pour mettre en valeur le noir du NovaPeak. L’arrière propose une plaque de contact intégralement en cuivre pour un transfert de chaleur optimal. On note également la présence d’un câble 3 pins, assez rare de nos jours, la plupart des fabricants optant pour un câble 4 pins PWM afin de réguler la vitesse de rotation. Ici, la pompe tourne uniquement à 3 100 RPM, ni plus ni moins. Cela explique aussi la présence d’un adaptateur d’alimentation 3 pins vers SATA.
Voilà, nous pouvons maintenant passer au montage.
Le radiateur fait 28 mm d’épaisseur, un standard de nos jours, ce qui lui permet de ne pas prendre trop de place dans le boîtier. Il est en aluminium recouvert de noir pour se fondre dans l’ensemble. On retrouve le « fill-port » à côté des tuyaux, eux-mêmes assez espacés en largeur. Les codes-barres du produit se trouvent sur un côté, le même que celui des tubes et du port de remplissage. Rappelons que ce port ne doit être utilisé qu’en cas de perte de performance de refroidissement ou si la pompe commence à produire des bruits suspects.
La pompe présente un top au design travaillé : il n’est pas lisse et possède une texture, avec au centre le logo de la marque dans un carré lisse. Ce logo est translucide, car, comme l’indique le fabricant sur la boîte, la « coque noire avec voyant LED blanc unique » sert probablement d’indicateur de fonctionnement et de touche esthétique pour mettre en valeur le noir du NovaPeak. L’arrière propose une plaque de contact intégralement en cuivre pour un transfert de chaleur optimal. On note également la présence d’un câble 3 pins, assez rare de nos jours, la plupart des fabricants optant pour un câble 4 pins PWM afin de réguler la vitesse de rotation. Ici, la pompe tourne uniquement à 3 100 RPM, ni plus ni moins. Cela explique aussi la présence d’un adaptateur d’alimentation 3 pins vers SATA.
Voilà, nous pouvons maintenant passer au montage.