Voici donc les résultats obtenus synthétisés dans le diagramme suivant.



Plusieurs choses sont à mentionner à la lecture de ses résultats. Les SSD PCI-E internes sont bien évidemment, aux premières loges, et ce n'est pas surprenant. Mais juste derrière, en 3 eme position, et malgré la connectivité utilisée en USB 3.2 gen 2 seulement, on trouve le Seagate Firecuda. Il atteint ainsi pratiquement 1100 Mo/s aussi bien en lecture qu'en écriture. C'est tout simplement le média externe le plus rapide à ce jour passé à la rédaction !

Côté IOPS, les performances en lecture / écriture n'ont pas à rougir. En effet, avec 76 KIOPS et 74 KIOPS, le Firecuda se place en 4 eme position. Il est certes derrière le SSD SATA interne de quelques pourcents, mais il est bien loin devant les autres SSD SATA externes.

Pour terminer sur l’analyse, rappelons que la promesse du Seagate est de pouvoir jouer à ses jeux installés dessus, en USB. Les performances relevées semblent bel et bien montrer que c'est le cas. On a en effet des débits 2 fois supérieurs à ceux d'excellents SSD SATA et des performances en aléatoires d'un niveau équivalent ! Tous les voyants sont au vert.

Mais pour en avoir le cœur net, le plus simple est de le tester en conditions réelles !