Visuellement, la PDP Afterglow Wave reprend le design global des manettes Xbox, avec une disposition classique des boutons, y compris le bouton Xbox central. Dès la première prise en main, la manette inspire confiance : l’assemblage est propre, sans jeu ni craquement, et les matières choisies sont de bonne qualité. Les boutons tombent bien sous les doigts et les courbes du châssis épousent confortablement les paumes.
L’aspect le plus frappant reste évidemment la présence de diffuseurs LED RGB translucides à l’avant, qui créent un effet lumineux en vague sur la façade. Ce design justifie le nom « Wave » et apporte une signature visuelle marquée, surtout dans une pièce peu éclairée. L’éclairage est personnalisable (couleur, animation, intensité), mais cette fonction n’est disponible que sur console Xbox.
Passons maintenant à ce fameux logiciel.
L’aspect le plus frappant reste évidemment la présence de diffuseurs LED RGB translucides à l’avant, qui créent un effet lumineux en vague sur la façade. Ce design justifie le nom « Wave » et apporte une signature visuelle marquée, surtout dans une pièce peu éclairée. L’éclairage est personnalisable (couleur, animation, intensité), mais cette fonction n’est disponible que sur console Xbox.
Le poids
La manette affiche 220 grammes sur la balance. Ce poids la place dans la moyenne, suffisamment légère pour rester agréable sur de longues sessions, mais assez dense pour transmettre une impression de solidité. L’équilibre du poids est bien réparti entre les poignées et la façade.Nom | Poids (g) |
---|---|
Sony Dualshock 4 v2 (PS4) | 215 |
Microsoft Xbox One (avec batterie) | 280 |
Nvidia Shield 2017 | 256 |
Razer Raiju (sans son câble) | 286 |
Nacon Revolution (sans son câble) | 222 |
Turtle Beach Rematch Core (sans son câble) | 185 |
Afterglow Wave (sans son câble) | 220 |
Les sticks
Les deux sticks analogiques sont placés de manière asymétrique, comme sur une manette Xbox classique. Chacun est entouré d’un anneau lumineux RGB, intégré aux effets de l’éclairage frontal. Leur revêtement est en caoutchouc texturé, creusé au centre pour améliorer l’adhérence. À l’usage, ils se montrent précis et bien équilibrés, avec une bonne résistance au mouvement.Les boutons
Les quatre boutons principaux (A, B, X, Y) conservent les couleurs emblématiques de Microsoft. Leur surface est lisse et légèrement brillante, avec une bonne réactivité et un clic net. Les boutons de menu sont bien intégrés dans l’ergonomie globale, facilement accessibles sans forcer le geste.Les gâchettes
Les deux gâchettes principales sont accompagnées de bumpers, le tout bien profilé pour épouser les doigts. Particularité notable : les gâchettes sont réglables sur 3 crans grâce à un interrupteur situé à l’arrière de la manette, chaque gâchette indépendemment. Cela permet d’ajuster la course selon les besoins : plus courte pour les FPS, plus longue pour les jeux de course. Le système est mécanique, simple à utiliser et fiable à l’usage.Les boutons arrière
La manette intègre également deux boutons supplémentaires à l’arrière, positionnés de façon à être accessibles avec majeurs. Ces boutons sont programmables à la volée dans le logiciel associé. Cela permet, par exemple, d’y associer des touches comme A ou B, pour optimiser les temps de réaction en jeu.La croix directionnelle et fonctions audio
La croix directionnelle est de type standard, avec un design sobre mais fonctionnel. Elle répond correctement, avec un clic bien marqué sur chaque direction. On retrouve aussi des commandes audio directement intégrées : le volume peut être ajusté via la croix sur Xbox, et un petit bouton mute, situé au centre de la manette, avec LED indicatrice permet de couper rapidement le micro d’un casque filaire.La connectique
Un port USB-C est situé en haut permet connecter la manette au PC ou à la console via un câble détachable. À la base, on trouve un port jack 3,5 mm. L’ensemble est compatible aussi bien sur PC que sur Xbox.Passons maintenant à ce fameux logiciel.