On va présenter les éléments de manière séparée, avant de procéder à l'assemblage. Et on va le voir, il y a pas mal de choses à dire, tant ce clavier sort des chemins battus.
Sur les tranches, on voit, qui fait tout le tour, le diffuseur en plastique pour les LEDs. On le verra plus loin, la marque a augmenté leur densité par rapport à l'Everest Max.
Sur l'envers, réalisé en ABS, on voit aussi les 2 patins, et qui se révèlent disposer d'une base métalliques On peut, si besoin, y ajouter les compléments aimantés trouvés dans le bundle, qui servent ainsi à surélever l'ensemble. 3 inclinaisons du clavier sont donc possibles : 3,6 et 9°.
Coté connectique, comme le câble est détachable, on trouve le connecteur USB type C au milieu de la tranche supérieure. Mais une spécificité du clavier sont les 4 connecteurs au format USB type C complémentaires qui se trouvent sur la périphérie du clavier. Il y en a un de chaque côté, protégé par un couvercle ainsi que 2 autres sur la tranche supérieure. Ils sont en fait standard niveau connectique, mais propriétaire niveau usage. Ils servent en fait à connecter les éléments additionnels, à savoir le pavé numérique et le media dock.
Coté structure interne, on est, sans surprise, face à une architecture dite « gasket », qui combine 3 couches visant à réduire les nuisances sonores provoquées par l'activation des touches. Pour bien illustrer le propos, be quiet! nous a mis à disposition un jeu de ces différentes parties entrant dans la constitution du Dark Mount. Le fascicule les accompagnant montre bien le positionnement et la matière de chacune d'entre elles.
Les 2 couches supérieures sont en mousse, tandis que la dernière, située à la base du clavier, est en silicone.
Pour ses claviers, be quiet! a également développé ses propres versions de switchs. Ils sont au format MX 5 broches on ne peut plus classiques, mais ils sont orientés silence. On distingue 2 types : les orange, qui sont linéaires avec une force d'activation de 45 g, et les noirs, qui sont tactiles et qui ont eu une force d'activation de 55 g. On retrouve en fait ici aussi le code couleur de la marque.
Pour ce qui est des matériaux, la marque a opté pour des boitiers en nylon PA66, et du POM pour la tige, avec bien entendu une lubrification en usine. Les stabilisateurs des grandes touches (Espace et Entrée, notamment) sont aussi lubrifiés
La molette permet quant à elle le réglage du volume, tandis que les 3 boutons centraux permettront de gérer l'écran : gauche, droite, enter. On en découvrira les fonctionnalités plus en détail plus loin dans l'article, une fois le Dark Mount sous tension.
A l'arrière, sans surprise, on découvre le connecteur USB mâle, qui permettra la connexion dans l'un des 2 ports femelles présents sur la partie supérieure du clavier. Le media dock peut donc se mettre à gauche, ou à droite, comme on préfère.
Adieux les boutons de macro générique M1/M2/M3 pour lesquels il faut mémoriser les actions associées : avec ce système, il suffit de regarder !
Une fois retourné, on voit que les pieds sont exactement les mêmes que sur le clavier à proprement parler. Il faudra donc les mettre à la même hauteur partout.
Mais on peut découvrir une sorte de glissière au milieu. Elle permet de faire sortir le connecteur USB du côté que l'on souhaite : à gauche, ou à droite. Cela va permettre l'installation de ce pavé du côté gauche, ou du côté droit du clavier.
Un couvercle aimanté permet de protéger le connecteur en question. Une fois le couvercle retiré et la glissière actionnée, on découvre en fait une large protubérance, avec le connecteur, mais aussi 2 aimants. Cet ensemble ira s'emboiter dans le clavier, comme on le verra dans la section assemblage.
En plastique, ils sont recouverts d'une fine épaisseur de mousse de 5 mm environ, elle-même revêtue d'un similicuir doux au toucher. Pour la fixation au clavier, des aimants sont présents, ce qui permet une mise en place très aisée, même dans le noir.
Des patins en caoutchouc situés à l'arrière garantissent la stabilité de l'ensemble.
C'est maintenant l'heure de réunir les différents éléments présentés séparément jusqu'ici, passons à l'assemblage !
Le clavier
Il s'agit donc d'un modèle Azerty ISO FR comme annoncé sur la boite, au format Ten Key Less. De base, il n'y a pas de pavé numérique. La partie supérieure du Dark Mount est principalement composée d'aluminium brossé du plus bel effet, dans une belle livrée noire.Sur les tranches, on voit, qui fait tout le tour, le diffuseur en plastique pour les LEDs. On le verra plus loin, la marque a augmenté leur densité par rapport à l'Everest Max.
Sur l'envers, réalisé en ABS, on voit aussi les 2 patins, et qui se révèlent disposer d'une base métalliques On peut, si besoin, y ajouter les compléments aimantés trouvés dans le bundle, qui servent ainsi à surélever l'ensemble. 3 inclinaisons du clavier sont donc possibles : 3,6 et 9°.
Coté connectique, comme le câble est détachable, on trouve le connecteur USB type C au milieu de la tranche supérieure. Mais une spécificité du clavier sont les 4 connecteurs au format USB type C complémentaires qui se trouvent sur la périphérie du clavier. Il y en a un de chaque côté, protégé par un couvercle ainsi que 2 autres sur la tranche supérieure. Ils sont en fait standard niveau connectique, mais propriétaire niveau usage. Ils servent en fait à connecter les éléments additionnels, à savoir le pavé numérique et le media dock.
Coté structure interne, on est, sans surprise, face à une architecture dite « gasket », qui combine 3 couches visant à réduire les nuisances sonores provoquées par l'activation des touches. Pour bien illustrer le propos, be quiet! nous a mis à disposition un jeu de ces différentes parties entrant dans la constitution du Dark Mount. Le fascicule les accompagnant montre bien le positionnement et la matière de chacune d'entre elles.
Les 2 couches supérieures sont en mousse, tandis que la dernière, située à la base du clavier, est en silicone.
Pour ses claviers, be quiet! a également développé ses propres versions de switchs. Ils sont au format MX 5 broches on ne peut plus classiques, mais ils sont orientés silence. On distingue 2 types : les orange, qui sont linéaires avec une force d'activation de 45 g, et les noirs, qui sont tactiles et qui ont eu une force d'activation de 55 g. On retrouve en fait ici aussi le code couleur de la marque.
Pour ce qui est des matériaux, la marque a opté pour des boitiers en nylon PA66, et du POM pour la tige, avec bien entendu une lubrification en usine. Les stabilisateurs des grandes touches (Espace et Entrée, notamment) sont aussi lubrifiés
Le media dock
Le media dock est un ensemble constitué de boutons, d'un écran rectangulaire TFT LCD, 240 x 320 pixels et d'une molette pour le son. L'objectif principal est d'offrir les fonctions multimédias habituelles : mute, play/pause, next, et previous via 4 boutons dédiés, de plus rétroéclairés.La molette permet quant à elle le réglage du volume, tandis que les 3 boutons centraux permettront de gérer l'écran : gauche, droite, enter. On en découvrira les fonctionnalités plus en détail plus loin dans l'article, une fois le Dark Mount sous tension.
A l'arrière, sans surprise, on découvre le connecteur USB mâle, qui permettra la connexion dans l'un des 2 ports femelles présents sur la partie supérieure du clavier. Le media dock peut donc se mettre à gauche, ou à droite, comme on préfère.
Le pavé numérique
Comme son nom l'indique, il s'agit du bloc de touches qui, traditionnellement, se trouve le plus à droite sur un clavier. Mais ce que ce nom ne laisse pas apparaitre, c'est la présence de 8 « touches » additionnelles, à la place des traditionnelles LED d'état, qui sont présentes, on l'a dit, à droite des flèches. Ce sont en fait des boutons équipés de petits écrans 140 x 140 px, sur lesquels on peut afficher les icônes de son choix. C'est le même système que sur l'Everest, sauf qu'il y a 2 fois plus de boutons, et que la résolution des écrans à été doublée.Adieux les boutons de macro générique M1/M2/M3 pour lesquels il faut mémoriser les actions associées : avec ce système, il suffit de regarder !
Une fois retourné, on voit que les pieds sont exactement les mêmes que sur le clavier à proprement parler. Il faudra donc les mettre à la même hauteur partout.
Mais on peut découvrir une sorte de glissière au milieu. Elle permet de faire sortir le connecteur USB du côté que l'on souhaite : à gauche, ou à droite. Cela va permettre l'installation de ce pavé du côté gauche, ou du côté droit du clavier.
Un couvercle aimanté permet de protéger le connecteur en question. Une fois le couvercle retiré et la glissière actionnée, on découvre en fait une large protubérance, avec le connecteur, mais aussi 2 aimants. Cet ensemble ira s'emboiter dans le clavier, comme on le verra dans la section assemblage.
Les repose-poignets
Dernier élément, mais pas des moindres, les repose-poignets. Il y en a 2, un pour le clavier TKL, et un second pour le pavé numérique – l'Everest n'en avait pas pour cette partie.En plastique, ils sont recouverts d'une fine épaisseur de mousse de 5 mm environ, elle-même revêtue d'un similicuir doux au toucher. Pour la fixation au clavier, des aimants sont présents, ce qui permet une mise en place très aisée, même dans le noir.
Des patins en caoutchouc situés à l'arrière garantissent la stabilité de l'ensemble.
C'est maintenant l'heure de réunir les différents éléments présentés séparément jusqu'ici, passons à l'assemblage !