Au premier abord, nos impressions sont plutôt positives, nourries par la curiosité d'en apprendre davantage sur une manette aussi élaborée. La Stealth Pivot tire sa base des manettes Xbox One de quatrième génération, facilement reconnaissables avec leur troisième bouton central et leur connexion USB Type C. Cela explique la compatibilité assurée sur les différents supports de jeu.

La disposition de la manette Turtle Beach est identique à celle de Microsoft, avec ses joysticks asymétriques, ses boutons A, B, X, Y et sa grosse touche de menu. Ce qui est clairement ajouté et visible est le D-pad  – ou croix directionnelle –  plein et lisse, ainsi que la disposition des boutons start et select déportés qui laissent l'espace à l'écran, un élément important de cette édition. M


Une matière légèrement rugueuse avec le logo Turtle Beach à mi-chemin assure la prise en main de la manette. Elle n'est pas désagréable au toucher, mais ne semble pas très efficace à la première prise en main.

Il n'y a aucun craquement ni bruit suspect lors des manipulations. Toutes les touches habituelles d'une manette Xbox se trouvent naturellement sous les doigts, mais les boutons supplémentaires proposés par la Stealth Pivot, nécessitent de positionner les mains un peu différemment pour les atteindre. C'est un petit temps d'adaptation à prendre pour profiter ces nouvelles commandes.

Du côté du poids, on est plutôt dans la moyenne haute, avec 300 g, mais cela reste inférieur aux 346 g de la manette Xbox Elite.


Pour résumer, la Stealth Pivot conserve les éléments essentiels du design Xbox tout en ajoutant plusieurs fonctionnalités censées améliorer l'expérience de jeu.

Partons les découvrir dans la page suivante.