Le temps reste et restera toujours un point clé dans nos tests. Le Scoria ne déroge pas à cette règle. Après plus de 3 semaines sur notre bureau, et un remplacement suite à une défaillance du produit, il est temps de faire le bilan sur ce produit.

Lorsqu'on place le Scoria sur notre tête, on se sent tout de suite à l'aise. Nos oreilles se retrouvent dans un écrin, suffisamment large grâce aux haut-parleurs de 40 mm de diamètre. Ce confort nous garantit des heures de jeu, le casque sur les oreilles, sans risquer de les avoir en vrac. Le poids du casque, quant à lui, est supportable du haut de ses 405 g sur la balance. Ce poids assez important est provoqué par les deux moteurs de vibration. Néanmoins, il ne gêne pas le confort.

Côté audio, le rendu est convainquant , tant au niveau des basses que des aigus, en jeu comme en usage musical. Le son surround virtuel 7.1 est un réel avantage dans les FPS comme PLAYERUNKNOWN'S BATTLEGROUNDS. Ce mode audio donne au son un aspect de profondeur et de distance qui améliorera grandement votre expérience des jeux, des films et de la musique. Dans le cas des jeux, il devient possible de localiser et de frapper un adversaire bien avant qu'il ne vous ait vu venir. De plus, l'option vibration renforce encore plus l'immersion. Dans des films avec de grosses explosions, en en prend littéralement plein les oreilles.

Le seul petit défaut du casque réside dans son microphone. Il est simplement un peu court, et lors de vos soirées jeux, à moins de crier, vos coéquipiers auront l'impression de vous entendre depuis le fond d'un puits. Les discutions lors de phases de jeux tactiques ne sont pas gênées, mais si vous vous retrouver en plein bombardements sur Tatooine, il faudra vous laisser prendre par l'action, et hurler.