Voici donc les résultats, relevés sous forme de graphiques :
Coté puissance, OCCT nous montre que l'intel 12700 K dissipe à la fréquence stock 18 W en idle et 180 W en burn. Il n'est donc pas si facile à refroidir, et on tourne à plus de 72 °C en burn, quelle que soit la solution étudiée. Un premier point sur lequel on peut s'attarder est la température du CPU en idle. Même à plein régime, le Kraken 420 n'arrive pas à descendre aussi bas que le Kraken 360, on a 3 petits degrés d'écart. Mais ce n'est pas vraiment le Kraken qui est en cause, mais la pâte thermique. Dans nos mesures, le modèle Elite 420 utilise la pâte préappliquée tandis le modèle de 360 utilise de la pâte Noctua NT-H1. On pourra cependant conseiller de repaster le Kraken Elite 420 pour en tirer toute la quintessence.
Regardons maintenant les températures en burn. La configuration qui s'en sort le mieux est bien évidemment le mode Performance, avec 72 °C mesurés. A l'autre extrémité des mesures, on a relevé 87 °C en mode fixe minimum, c'est-à-dire avec la pompe et le ventilateur tournant à leurs minimums respectifs. Le mode silence, quant à lui, permet d'attendre 74 °C.
Mais les plus observateurs auront remarqué que dans le graphique, il y a 2 mesures pour ce mode. En effet, le gros point fort de cet AIO, c'est sa fonctionnalité qui permet de choisir la sonde de référence pour les courbes de ventilation. Sur la plupart des AIO, c'est la température du CPU qui fait foi, et, en burn, on se retrouve avec des ventilateurs qui tournent à 100 % et ce parfois en vain. NZXT permet de son côté, et ça change tout, d'indexer la rotation sur la température du liquide. Comme le CPU fait chauffer le liquide, c'est se transfert réel de chaleur qui sert de référence. Par conséquent, une élévation de la température du CPU assez conséquente n'a qu'un impact de quelques degrés sur le liquide circulant dans le circuit, grâce à ses 420 mm.
En restant en mode silence, mais en passant de la sonde CPU à la sonde liquide, la température CPU augmente de 6 °C, de 74 à 80 °C, qui est à mi-chemin du mode fixe minimum qui est pour rappel à 87 °C. Et là où ça fait tout son sens c'est sur les nuisances sonores qui sont associées.
Car oui, 3 ventilos de 140 mm qui soufflent à fond, c'est bruyant, forcément. On atteint au maximum en Performance 63,1 dB, et ce n'est pas quelque chose qui est supportable sur le long terme pour l'utilisateur. Si on regarde maintenant du côté de mode Silence, avec la sonde CPU, il plafonne à 51,2 dB. Avec 12 dB de moins que le mode Performance, c'est le jour et la nuit, mais c'est encore beaucoup. En revanche, si on utilise la sonde liquide, on descend d'un coup à 37 dB ! Dans ce mode-là, le ventilateur tourne quasiment à son minimum.
Si on compare avec le F360, testé dans la configuration médiane Silence / asservissement liquide, on voit que celle-ci est équivalente en termes de performances en burn, à 1 petit degré d'écart. Mais niveau bruit, le F420 fait bien mieux, avec dB de moins.
On peut aussi évoquer le bruit produit par la pompe signée Cool-it. La fiche technique indique une plage de fonctionnement comprise entre 1200 et 2800, et CAM nous montre une vitesse max de 2950, ce qui reste dans la fiche technique. Nos essais ont montré que d'un point de vue acoustique, la pompe garde un faible volume sonore jusqu’à environ 75 % de sa vitesse max, à partir du quel celui-ci croit de manière assez importante. Mais à l'oreille, on remarque un phénomène qui ne se mesure pas au sonomètre, la fréquence augmente avec la vitesse, et le bruit produit devient un peu plus aigu au fur et à mesure que les RPM croissent.
Coté puissance, OCCT nous montre que l'intel 12700 K dissipe à la fréquence stock 18 W en idle et 180 W en burn. Il n'est donc pas si facile à refroidir, et on tourne à plus de 72 °C en burn, quelle que soit la solution étudiée. Un premier point sur lequel on peut s'attarder est la température du CPU en idle. Même à plein régime, le Kraken 420 n'arrive pas à descendre aussi bas que le Kraken 360, on a 3 petits degrés d'écart. Mais ce n'est pas vraiment le Kraken qui est en cause, mais la pâte thermique. Dans nos mesures, le modèle Elite 420 utilise la pâte préappliquée tandis le modèle de 360 utilise de la pâte Noctua NT-H1. On pourra cependant conseiller de repaster le Kraken Elite 420 pour en tirer toute la quintessence.
Regardons maintenant les températures en burn. La configuration qui s'en sort le mieux est bien évidemment le mode Performance, avec 72 °C mesurés. A l'autre extrémité des mesures, on a relevé 87 °C en mode fixe minimum, c'est-à-dire avec la pompe et le ventilateur tournant à leurs minimums respectifs. Le mode silence, quant à lui, permet d'attendre 74 °C.
Mais les plus observateurs auront remarqué que dans le graphique, il y a 2 mesures pour ce mode. En effet, le gros point fort de cet AIO, c'est sa fonctionnalité qui permet de choisir la sonde de référence pour les courbes de ventilation. Sur la plupart des AIO, c'est la température du CPU qui fait foi, et, en burn, on se retrouve avec des ventilateurs qui tournent à 100 % et ce parfois en vain. NZXT permet de son côté, et ça change tout, d'indexer la rotation sur la température du liquide. Comme le CPU fait chauffer le liquide, c'est se transfert réel de chaleur qui sert de référence. Par conséquent, une élévation de la température du CPU assez conséquente n'a qu'un impact de quelques degrés sur le liquide circulant dans le circuit, grâce à ses 420 mm.
En restant en mode silence, mais en passant de la sonde CPU à la sonde liquide, la température CPU augmente de 6 °C, de 74 à 80 °C, qui est à mi-chemin du mode fixe minimum qui est pour rappel à 87 °C. Et là où ça fait tout son sens c'est sur les nuisances sonores qui sont associées.
Car oui, 3 ventilos de 140 mm qui soufflent à fond, c'est bruyant, forcément. On atteint au maximum en Performance 63,1 dB, et ce n'est pas quelque chose qui est supportable sur le long terme pour l'utilisateur. Si on regarde maintenant du côté de mode Silence, avec la sonde CPU, il plafonne à 51,2 dB. Avec 12 dB de moins que le mode Performance, c'est le jour et la nuit, mais c'est encore beaucoup. En revanche, si on utilise la sonde liquide, on descend d'un coup à 37 dB ! Dans ce mode-là, le ventilateur tourne quasiment à son minimum.
Si on compare avec le F360, testé dans la configuration médiane Silence / asservissement liquide, on voit que celle-ci est équivalente en termes de performances en burn, à 1 petit degré d'écart. Mais niveau bruit, le F420 fait bien mieux, avec dB de moins.
On peut aussi évoquer le bruit produit par la pompe signée Cool-it. La fiche technique indique une plage de fonctionnement comprise entre 1200 et 2800, et CAM nous montre une vitesse max de 2950, ce qui reste dans la fiche technique. Nos essais ont montré que d'un point de vue acoustique, la pompe garde un faible volume sonore jusqu’à environ 75 % de sa vitesse max, à partir du quel celui-ci croit de manière assez importante. Mais à l'oreille, on remarque un phénomène qui ne se mesure pas au sonomètre, la fréquence augmente avec la vitesse, et le bruit produit devient un peu plus aigu au fur et à mesure que les RPM croissent.