L'étape de montage permet d'éprouver le bundle, la conception des mécanismes de rétentions, et parfois, la qualité de la documentation fournie.
Heureusement, grâce au cadre unique du F420, seules 4 vis sont ici nécessaires, pour bien plaquer le ventilateur contre ce radiateur. Donc une fois l'alignement réalisé, le vissage, lui, ne prend que quelques secondes.
Celle-ci est en fait carrée et donc symétrique : il n'y a donc aucune possibilité de se tromper quand on la met en place. Il faut juste ajuster les embases, qui elles, coulissent, et permettent de s'adapter à plusieurs sockets Intel. Comme il n'y a pas de position 1700 identifiée clairement, il faut passer un peu de temps à trouver la position adéquate. L'étape suivante consiste à fixer les entretoises qui retiennent la backplate en place, en les vissant à la main.
Ensuite, on vient glisser le waterblock sur ces entretoises. L'opération n'est pas compliquée : 4 grosses vis à main sont alors à placer pour terminer le montage. Un vissage « en croix » est fortement conseillé. Cela permet d'obtenir une bonne répartition de la pression appliquée sur le CPU, et donc, sur la pâte thermique préappliquée.
Ensuite, pour la partie pilotage, on doit mettre en place le connecteur USB à relier à la carte mère, sur un port USB 2.0 interne. Cela permettra au logiciel CAM de gérer l’intégralité des LEDs des ventilos, ainsi que l'écran ! Pour finir, on n'oublie pas de connecter à un port Fan de la CM le câble tout fin et qui permet d'avoir le signal de rotation de la pompe.
On met sous tension, l'ensemble démarre et s'allume de mille feux, notamment l'écran. Il est donc temps de passer à la partie logicielle !
Radiateur et ventilateur
On commence par l'installation dans la tour du radiateur. Rappelons que notre boitier NZXT H7 Flow de test dispose d'un emplacement en façade pour radiateur de watercooling de 420 mm et d'un support démontable ! Grâce à ce support, on place le radiateur côté intérieur du boitier, et le ventilateur côté extérieur, avec les 4 vis longues qui traversent. Mais on doit bien avouer que le montage a été compliqué, non pas du fait du Kraken, mais du support intégré au H7 qui ne pardonne rien comme écart d'alignement.Heureusement, grâce au cadre unique du F420, seules 4 vis sont ici nécessaires, pour bien plaquer le ventilateur contre ce radiateur. Donc une fois l'alignement réalisé, le vissage, lui, ne prend que quelques secondes.
Waterblock
La première opération, avant le montage de cet élément à proprement parler, est la sélection des composants en adéquation avec notre système. Comme nous plaçons le watercooling sur une carte mère au socket LGA 1700, ici, il nous faudra donc choisir la visserie pour Intel, et idem pour la backplate. Comme tout est dans le sachet estampillé Intel, l'opération ne prend pas plus de 2 secondes.Celle-ci est en fait carrée et donc symétrique : il n'y a donc aucune possibilité de se tromper quand on la met en place. Il faut juste ajuster les embases, qui elles, coulissent, et permettent de s'adapter à plusieurs sockets Intel. Comme il n'y a pas de position 1700 identifiée clairement, il faut passer un peu de temps à trouver la position adéquate. L'étape suivante consiste à fixer les entretoises qui retiennent la backplate en place, en les vissant à la main.
Ensuite, on vient glisser le waterblock sur ces entretoises. L'opération n'est pas compliquée : 4 grosses vis à main sont alors à placer pour terminer le montage. Un vissage « en croix » est fortement conseillé. Cela permet d'obtenir une bonne répartition de la pression appliquée sur le CPU, et donc, sur la pâte thermique préappliquée.
Connectique
On commence par connecter le câble qui ressemble à une pieuvre – ce qui ne dénote pas avec le nom Kraken – et qu'il faut mettre en place au niveau du radiateur, entre les 2 tuyaux ! Il dispose, on le disait plus avant, d'un connecteur Sata, pour l'alimentation électrique de la pompe et de l'écran. Un connecteur femelle 8 broches permet de connecter le F420.Ensuite, pour la partie pilotage, on doit mettre en place le connecteur USB à relier à la carte mère, sur un port USB 2.0 interne. Cela permettra au logiciel CAM de gérer l’intégralité des LEDs des ventilos, ainsi que l'écran ! Pour finir, on n'oublie pas de connecter à un port Fan de la CM le câble tout fin et qui permet d'avoir le signal de rotation de la pompe.
On met sous tension, l'ensemble démarre et s'allume de mille feux, notamment l'écran. Il est donc temps de passer à la partie logicielle !