Prenons maintenant un moment pour découvrir la LIV Plus Wireless Onyx White, une souris au design singulier. Avec ses 126 x 65,7 x 39,3 mm, elle se positionne dans la catégorie des souris compactes, mais ne manque pas de caractère. Sa coque blanche finement texturée est parcourue de découpes géométriques qui laissent apparaître une structure interne alvéolée, lui conférant un aspect à la fois aéré et anguleux, presque futuriste.
La partie supérieure de la souris reste assez classique malgré son design atypique. Une molette cerclée de LEDs ARGB trône au centre, accompagnée d’un bouton permettant de changer à la volée les paliers de DPI. On peut en configurer jusqu’à six, chacun associé à une couleur différente, ce qui rend l’information immédiatement visible en jeu. Le dos de la souris est légèrement bombé, mais moins prononcé que sur d'autres modèles orientés palm grip – on est ici sur un profil adapté aux prises claw ou fingertip.
Avant, côté et dessousDeux boutons latéraux prennent place sur le flanc gauche, bien accessibles au pouce. Rien à signaler sur le côté droit, la souris étant strictement destinée aux droitiers. Les tranches ne présentent ni grips caoutchouc ni textures particulières : la finition est homogène sur toute la coque.
Sous la souris, on retrouve trois patins en PTFE gris, dont un ovale entourant le capteur optique, pour une glisse fluide et bien répartie. Le capteur embarqué est un PixArt PAW3395, très réputé pour ses performances et sa précision, même à haute vitesse. Un petit interrupteur physique permet de basculer entre les trois modes de connexion disponibles : USB filaire, Bluetooth ou 2.4 GHz via dongle. À noter cependant qu’aucun logement n’est prévu dans la souris pour ranger ce dongle – il faudra donc faire attention à ne pas le perdre en déplacement.
C'est de toute beauté !Et pour recharger la bête, Endorfy propose une solution élégante : en plus du classique câble USB-C tressé, un dock de chargement magnétique est fourni. Compact, il permet de poser la souris pour qu’elle se recharge. Sa base ARGB diffuse une lumière configurable, et un petit bouton situé dessous permet de changer l’effet lumineux ou de l’éteindre totalement. Pratique : le dongle sans fil peut se loger à l’avant du dock, pour rester à portée de main sans s’égarer.
Le dock de rechargement
Voyons maintenant le logiciel associé à cette souris.
La partie supérieure de la souris reste assez classique malgré son design atypique. Une molette cerclée de LEDs ARGB trône au centre, accompagnée d’un bouton permettant de changer à la volée les paliers de DPI. On peut en configurer jusqu’à six, chacun associé à une couleur différente, ce qui rend l’information immédiatement visible en jeu. Le dos de la souris est légèrement bombé, mais moins prononcé que sur d'autres modèles orientés palm grip – on est ici sur un profil adapté aux prises claw ou fingertip.
Avant, côté et dessous
Sous la souris, on retrouve trois patins en PTFE gris, dont un ovale entourant le capteur optique, pour une glisse fluide et bien répartie. Le capteur embarqué est un PixArt PAW3395, très réputé pour ses performances et sa précision, même à haute vitesse. Un petit interrupteur physique permet de basculer entre les trois modes de connexion disponibles : USB filaire, Bluetooth ou 2.4 GHz via dongle. À noter cependant qu’aucun logement n’est prévu dans la souris pour ranger ce dongle – il faudra donc faire attention à ne pas le perdre en déplacement.
C'est de toute beauté !
Le dock de rechargement
Voyons maintenant le logiciel associé à cette souris.
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