A la frappe, les switchs rouge Cooler Master ne sont pas trop bruyants, mais à l'utilisation, les touches produisent une résonnance de plastique une fois arrivée en fin de course.. La sensation d'enfoncement linéaire est agréable et la course de longueur moyenne permet de taper du texte sans faire trop d'erreur ou de double frappe. En jeu, nos actions sont forcement moins rapide qu'avec des switchs « speed », mais ça se joue à rien et c'est totalement imperceptible pour le commun des mortels.

Après plusieurs semaines d'utilisation, que ce soit en jeu ou en bureautique, nous n'avons rien à reprocher au CK352. Les touches sont de forme classique ce qui ne déstabilise pas son utilisateur. Les pieds n'offrent qu'une seule possibilité de surélévation, mais l'angle choisi est comme il faut. Les touches bicolores apportent un look qui change et ce n'est pas désagréable.


Pour finir, l'éclairage RGB des touches est présent et bien visible. Le liseré sur le côté produit une belle lumière feutrée. Du fait qu'elle soit sur la périphérie du clavier, cette lumière n'est pas visible par l'utilisateur du clavier. En ce qui concerne la gestion de cet éclairage RGB, le fait que tout se gère depuis le clavier rend la chose plus simple une fois les commandes assimilées. Au début, il est clair que ce n'est pas intuitif et qu'il faut s'aider du mode d'emploi pour trouver à quoi sert chaque touche.


Il est maintenant temps de dévoiler notre conclusion.