Installation

Maintenant que le tapis est déballé, on va pouvoir l'installer sur le bureau.


Il ne sera pas forcément nécessaire de revoir son espace de travail : les dimensions du Draconem sont plutôt modestes sans pour autant être dérangeantes avec 355 x 255 x 4 mm. Une fois posé sur le bureau, son revêtement antidérapant fait très bien son travail. Même en appuyant avec une force volontaire, c'est impossible de le faire bouger. Côté lumière, l'alimentation du tapis se fait très simplement, ce dernier étant terminé par un connecteur USB, il suffira de brancher celui-ci dans le port approprié (il est évidemment inutile de se séparer d'un port USB 3.0 sur sa machine pour alimenter le Draconem RGB). La longueur de câble sera amplement suffisante avec 1,80 m.

Avant tout, il faut noter que l'installation du logiciel n'est pas obligatoire pour le bon fonctionnement de l'éclairage du Draconem RGB : en effet, nous avons déjà accès à l'ensemble des effets lumineux à partir des deux boutons situés sur le petit boitier placé en haut du tapis. Le bandeau RGB offre les comportements suivants : « spectrum running », pulsation, vague et arc-en-ciel.

Logiciel

Passons donc à la présentation du logiciel qui aura pour avantages une personnalisation plus avancée, et aussi plus simple, des modes d'éclairage ainsi que la possibilité de configurer trois profils différents. Au moment de la rédaction de ce test, la version 2.03 testée ici pèse 6,32 Mo. Comme nous l'avons dit juste avant, même si l'utilisation « basique » du tapis ne nécessite aucune installation logicielle, pour exploiter au maximum les capacités de personnalisation de ce Draconem RGB, il est nécessaire de télécharger le logiciel sur la page internet de la référence.

Nous avons donc à disposition trois profils dans lesquels nous pourrons modifier et exploiter tout le potentiel du bandeau RGB qui est l'élément qui se distingue sur ce tapis de souris.


Pour savoir ce que donne la surface supérieure en action, passons maintenant à l'aspect pratique du test.