Le contrôleur embarqué sur ce SSD vient de MaxioTech, une filiale de Jmicron. La société était plutôt axée sur l'entrée de gamme, et le marché asiatique à l'origine, mais commence à se faire une place en tant qu'OEM pour des marques plus connues par chez nous avec des contrôleurs plus évolué. D'autres SSD Lexar sont également porteurs de cette marque de contrôleur, à commencer par le NM790 testé précédemment.
Pour ce NM990, il s'agit donc d'un MAP1806A, dévoilé en avril 2024. Les points marquants de ce contrôleur sont sa finesse de gravure de 12 nm, une architecture quadricœur ARM Cortex R5 et sa gestion de 8 canaux NAND 3600 MT/s. Il supporte également le NVME dans sa version 2.0. Il est, en théorie, capable d'offrir 7,4 Go/s en lecture et 6,5 en écriture séquentielle, et pour l'aléatoire, 1 000 K IOPS en lecture et 1000 K IOPS en écriture. On retrouve là les performances annoncées dans la fiche technique, au moins pour le séquentiel.
Pour la NAND, Lexar utilise de la 3D TLC. Les puces sont signées Longsys, une filiale de Lexar. Leur fabrication semble sous-traitées à Micron, le géant du domaine.
Concernant l'aspect DRAM, Lexar fait l'économie d'une puce dédiée à cet usage et utilise à la place la technologie HMB, pour Host Memory Buffer. Le SSD utilise à la place une toute petite portion de la RAM du PC. Sur la gamme précédente, Maxio utilisait 40 Mo, on peut estimer que c'est dans le meme ordre de grandeur ici. Dans cet espace tampon, le SSD va stocker les informations L2P, soit Logical to Physical, c'est à adresse les adresses logiques et les adresses physiques liées, en attendant que tout soit écrit dans la NAND. Cette absence de DRAM classe donc le contrôleur dans la catégorie des DRAM-less.
Maintenant que nous avons ce SSD en main, ne serait-il pas temps de passer à l'installation puis aux tests ?
Pour ce NM990, il s'agit donc d'un MAP1806A, dévoilé en avril 2024. Les points marquants de ce contrôleur sont sa finesse de gravure de 12 nm, une architecture quadricœur ARM Cortex R5 et sa gestion de 8 canaux NAND 3600 MT/s. Il supporte également le NVME dans sa version 2.0. Il est, en théorie, capable d'offrir 7,4 Go/s en lecture et 6,5 en écriture séquentielle, et pour l'aléatoire, 1 000 K IOPS en lecture et 1000 K IOPS en écriture. On retrouve là les performances annoncées dans la fiche technique, au moins pour le séquentiel.
Pour la NAND, Lexar utilise de la 3D TLC. Les puces sont signées Longsys, une filiale de Lexar. Leur fabrication semble sous-traitées à Micron, le géant du domaine.
Concernant l'aspect DRAM, Lexar fait l'économie d'une puce dédiée à cet usage et utilise à la place la technologie HMB, pour Host Memory Buffer. Le SSD utilise à la place une toute petite portion de la RAM du PC. Sur la gamme précédente, Maxio utilisait 40 Mo, on peut estimer que c'est dans le meme ordre de grandeur ici. Dans cet espace tampon, le SSD va stocker les informations L2P, soit Logical to Physical, c'est à adresse les adresses logiques et les adresses physiques liées, en attendant que tout soit écrit dans la NAND. Cette absence de DRAM classe donc le contrôleur dans la catégorie des DRAM-less.
Maintenant que nous avons ce SSD en main, ne serait-il pas temps de passer à l'installation puis aux tests ?

