Le Huntsman possède un design épuré et tout en sobriété. Son design est très simple, mais profite d'une très bonne finition. La coque est en plastique noir avec une partie supérieure en métal. Le revêtement est mat que ce soit sur la coque ou les touches. La disposition des touches en AZERTY est tout ce qu'il y'a de plus classique, aucune touche ou bouton supplémentaires n'existent. Les raccourcis multimédias sont partagés avec les touches de fonctions. Au niveau de la connectique, le Razer Huntsman est doté d'un câble USB recouvert de fibre tressée.


Lorsque l'on retourne le clavier, on découvre que ce dernier est équipé de six pads caoutchouc de grandes dimensions, permettant presque de le coller au bureau tellement l’adhérence est bonne. La stabilité est ainsi exemplaire, et ce même lorsque les patins rabattables sont déployés. Parlons-en d'ailleurs de ces patins relevables. Ils sont conçus de manière à avoir deux étages d’élévation, ce qui permet d'incliner le clavier sur une position supplémentaire. Chaque « étage » est lui aussi doté de pads antidérapants, une très bonne initiative compte tenu du fait que la plupart des claviers passés entre nos mains perdaient en adhérence une fois le clavier relevé, car dépourvus de pads antidérapants sur cette partie.


Ce Razer Huntsman est équipé de switchs optomécaniques, une technologie qui repose sur la détection de coupure d'un faisceau lumineux pour enregistrer le signal de l'appui, ils réagissent sous une force d'activation de 45 G Cliquez sur l’animation à droite pour voire le fonctionnement. Un principe que l'on a avait déjà retrouvé dans la souris Viper du même fabricant testée il y a quelque temps sur notre site. Dans le ressenti procuré par ces switchs, on peut les comparer aux switchs Blue de chez Cherry MX, c'est-à-dire qu'ils offrent un retour tactile au cours de la pression en plus d'un clic audible pour signifier la prise en compte de la frappe.

Voyons les logiciels qui accompagnent notre clavier dans la page suivante.