Généralités

Une fois le clavier à découvert, nous voici en présence d'un périphérique plutôt flatteur dans la forme, compte tenu du prix auquel il est vendu. Concernant le design on peut aimer ou pas, mais il ne laissera personne indifférent. La carcasse est entièrement en plastique noir mat, avec des dimensions de 47 x 19 x 3,5 cm. Sur le côté gauche, se situent trois boutons programmables  –  toujours sans logiciel  –  et sur le bas, un prolongement du cadre du clavier fait office de repose-poignet sommaire.


Sur le dessus se trouve le logo de la marque en relief, à noter que tous les détails visibles en blanc, comme les liserés d'entourage et autres motifs, sont rétroéclairés en même temps que les touches.

Sur la face arrière du clavier se trouvent quatre patins antidérapants disposés aux quatre coins du châssis ainsi que deux patins relevables permettant de surélever le clavier. Le câble pour sa part est recouvert de nylon tressé  –  un détail appréciable dans cette gamme de prix  –  nous pourrons le ranger grâce à la petite attache velcro fixée dessus.

Les touches

Le K900 étant un clavier à membrane, ce qui est plutôt attendu dans cette tranche de prix, on ne peut rien dire de spécial à propos des touches. La typographie est néanmoins bien exécutée, avec des lettres de bonne taille et une police spécifique bien lisible, pas de bavure ni aucun défaut ne vient entacher cette finition assez correcte.


Des raccourcis multimédias au nombre de douze se partagent l'espace avec les touches de fonction allant de F1 a F12, ceux-ci permettent de contrôler le volume de lecture sonore ou le changement de piste, ainsi qu'a lancer des applications spécifiques comme l'explorateur de fichiers ou encore un client de gestion d'emails.

Éclairage LED RGB

Nous avons affaire là a un rétroéclairage divisé en six zones sur la largeur du clavier, on peut choisir parmi huit couleurs ainsi que neuf modes d’éclairage prédéfinit. Parmi ces modes, il y en a un qui permet de faire réagir l’éclairage suivant le rythme du bruit ambiant, comme une musique ou le son de votre jeu sortant d'un hautparleur.


Concernant le rendu de cet éclairage RGB, il est plutôt bien mis en œuvre dans l'ensemble, même si les touches supérieures souffrent d'une légère faiblesse de puissance d'illumination par rapport au reste, et ce malgré le paramétrage de l’éclairage à la valeur maximale sur les cinq paliers possibles.

Revenons au prospectus dont nous avons parlé dans le deuxième chapitre de ce test. Force est de constater que le fabricant a eu la bonne idée d'illustrer le mode d'emploi sous forme de schéma compréhensibles dans toutes les langues. Exit la multitude de pages pleines de paragraphes ennuyants rédigés parfois avec une traduction approximative. Place à un schéma clair, avec une marche à suivre simplifiée pour profiter des toutes les fonctions offertes par ce clavier, comme la programmation des touches macros ou la gestion de l’éclairage RGB.