Les résultats obtenus sont présentés dans le graphique ci-dessous. Mais voici un petit rappel du montage des différents ventilateurs.

• 3 x 120 mm sur le WaterCooling, placé en haut en extraction ;
• 2 x 200 mm, placés en aspiration à l'avant ;
• 1 x 120 mm, placé à l'arrière en extraction

Tandis que dans le Dubili, d'InWin, la configuration était la suivante :

• 3 x 120 mm sur le WaterCooling, placé en haut en extraction ;
• 3 x 120 mm, placés en aspiration à l'avant

Sur le papier, on peut dire que ces configurations sont assez proches.


En charge, le processeur atteint 85 °C dans le MasterFrame 500 Mesh, contre 76 °C pour le Dubili. L’écart est notable et montre que le Dubili reste plus efficace pour dissiper la chaleur du CPU lors des charges prolongées. En revanche, au repos, le MasterFrame 500 Mesh se montre nettement plus performant avec une température CPU de seulement 29 °C, là où le Dubili reste à 39 °C. Un résultat qui traduit un excellent renouvellement de l’air à faible sollicitation.

Sous forte charge, les deux boîtiers affichent un comportement identique, avec un GPU stabilisé à 72 °C. Au repos, le MasterFrame 500 Mesh prend clairement l’avantage : 35 °C contre 48 °C pour le Dubili. La ventilation plus ouverte et mieux répartie du châssis permet ici un refroidissement passif bien plus efficace.

Pour information, PC éteint, le bruit de fond mesuré dans la pièce est de 34,5 dBA. Au repos, le MasterFrame 500 Mesh reste très proche de cette valeur avec 35,8 dBA, ce qui le rend quasiment inaudible. En charge, le niveau sonore monte à 40,6 dBA, restant légèrement inférieur à celui du Dubili (41,6 dBA).

Malgré son orientation airflow, le MasterFrame 500 Mesh parvient donc à conserver un fonctionnement discret, y compris lorsque la configuration est sollicitée.

Mais dans le temps, ça donne quoi ?