Il est temps de faire le bilan. Le Philips 27M2N8500 est un écran qui impressionne à bien des égards, mais dont les caractéristiques techniques le destinent à un public averti. Sa définition QHD (2560 x 1440 pixels) et son taux de rafraîchissement de 360 Hz offrent une expérience visuelle exceptionnelle, aussi bien pour les créateurs de contenu que pour les joueurs exigeants. Mais attention : pour profiter pleinement de ses capacités, une carte graphique musclée est indispensable, surtout en jeu. Inutile de s'inquiéter pour Word ou Excel, mais en jeu, la charge est réelle.
Dans notre cas, la RTX 4070 Ti Super de Zotac s’en est très bien sortie. Pour atteindre les 360 Hz, nous avons parfois dû faire quelques compromis sur les réglages graphiques, comme dans Doom: The Dark Ages, où en mode Ultra, la moyenne tournait autour de 200-210 fps. Rien de dramatique, mais cela illustre bien qu’à cette résolution et à ce taux de rafraîchissement, chaque image compte.
La diagonale de 27 pouces reste classique, mais ici, elle est sublimée par la densité de pixels, ce qui assure une netteté d’affichage remarquable, notamment pour les textes et les détails fins. En jeu, la fluidité est bien réelle et donne un avantage certain dans les titres compétitifs. De plus, la taille modeste de l’écran permet de conserver une position naturelle, sans devoir tourner la tête comme sur un ultra-large. Sur notre bureau de test, une distance d’environ 70 à 80 cm suffisait pour un confort visuel optimal.
Le pied fourni est particulièrement soigné. Il assure une excellente stabilité, tout en offrant de nombreux réglages ergonomiques (hauteur, inclinaison, pivot, rotation). L'orifice pour le passage des câbles est toujours aussi pratique pour garder un espace de travail propre. Seul petit bémol : comme souvent avec les écrans haut de gamme, le pied prend un peu de place en profondeur, donc mieux vaut avoir un bureau suffisamment large.
Enfin, le système AmbiGlow – c'est à dire la version AmbiLight, mais pour les écrans PC – permet de sublimer l'image et l'immersion. Il est cependant préférable d'avoir un mur uni et clair, idéalement blanc, même si la qualité de l'écran et de l'image suffisent à capter l’attention.
Il est temps de conclure.
Dans notre cas, la RTX 4070 Ti Super de Zotac s’en est très bien sortie. Pour atteindre les 360 Hz, nous avons parfois dû faire quelques compromis sur les réglages graphiques, comme dans Doom: The Dark Ages, où en mode Ultra, la moyenne tournait autour de 200-210 fps. Rien de dramatique, mais cela illustre bien qu’à cette résolution et à ce taux de rafraîchissement, chaque image compte.
La diagonale de 27 pouces reste classique, mais ici, elle est sublimée par la densité de pixels, ce qui assure une netteté d’affichage remarquable, notamment pour les textes et les détails fins. En jeu, la fluidité est bien réelle et donne un avantage certain dans les titres compétitifs. De plus, la taille modeste de l’écran permet de conserver une position naturelle, sans devoir tourner la tête comme sur un ultra-large. Sur notre bureau de test, une distance d’environ 70 à 80 cm suffisait pour un confort visuel optimal.
Le pied fourni est particulièrement soigné. Il assure une excellente stabilité, tout en offrant de nombreux réglages ergonomiques (hauteur, inclinaison, pivot, rotation). L'orifice pour le passage des câbles est toujours aussi pratique pour garder un espace de travail propre. Seul petit bémol : comme souvent avec les écrans haut de gamme, le pied prend un peu de place en profondeur, donc mieux vaut avoir un bureau suffisamment large.
Enfin, le système AmbiGlow – c'est à dire la version AmbiLight, mais pour les écrans PC – permet de sublimer l'image et l'immersion. Il est cependant préférable d'avoir un mur uni et clair, idéalement blanc, même si la qualité de l'écran et de l'image suffisent à capter l’attention.
Il est temps de conclure.