Pour l'emballage, on reste dans le même style qu'on a l'habitude de voir avec be quiet!, c'est-à-dire un emballage très sobre, avec l'annotation « premium » sur une bande grise, qui assure déjà l'utilisateur de la qualité du produit.


Sur la face avant, une belle photo du ventilateur, avec en dessous quelques lignes informatives, sans oublier le logo du constructeur dans le coin supérieur. Au dos, nous avons différents commentaires traduits en anglais, en allemand, et en français, ainsi que la fiche technique mise sous forme d'un tableau.

À l'intérieur, on trouve :

• Le ventilateur ;
• Le système de fixation ;
• Une notice d'installation.

On remarquera que le bundle ne contient aucune vis, à la place, on a un système de fixation un peu particulier. Ce dernier est constitué de sortes de rivets en caoutchouc, accompagnés de rondelles du même matériau, qui permettront en fait une installation très simplifiée du ventilateur.

On découvre alors le Shadow Wings, entièrement blanc (évidemment) à l'exception de la marque inscrite au centre du ventilo et du pourtour du cadre, sans oublier les emplacements de fixation. Comme on le voit souvent, les 9 pales qui le composent sont nervurées. Ça fait partie des astuces des constructeurs pour optimiser la ventilation, et chacun y va de sa recette. Un point intéressant à noter concerne le câble PWM en sortie du Silent Wings, puisque celui-ci, gainé, ne mesure pas moins de 50 cm. be quiet! est donc généreux sur ce point, ce qui nous facilitera la tâche lors de l'installation.


Sur la tranche du châssis, on retrouve le logo du constructeur, et il n'y a pas grand chose d'autre à souligner sur ce Shadow Wings 2, hormis sa forme très affinée qui lui permet de ne pas peser très lourd malgré une très bonne rigidité.


Procédons maintenant à l’installation dans notre configuration de test !