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L'atelier, vide au début
Dans ce mode de jeu principal, le joueur vient d'ouvrir son magasin. Les clients sont rares, n'ont que peu de budget, et les composants que peut vous vendre votre grossiste sont limités. Il faut, de plus, penser à payer le loyer du local et les factures qui arrivent.... Comme dans la vraie vie. Le jeu s'articule d'ailleurs autour d'un calendrier, qui servira de repère, chaque journée étant décomposée en plusieurs activités récurrentes :
Le calendrier qui rythme la partie
recevoir les mails des clients, ce qui permet d'accepter des quêtes en quelque sorte, procéder aux réparations et upgrades, et surtout, passer commande des pièces nécessaires. Les frais de ports sont appliqués, et plus vous voulez les pièces rapidement, plus il faut mettre la main à poche. Il faut donc jongler entre les entrées et les sorties d'argent, les temps de mise à disposition des composants et les fins de mois qui arrivent vite.

Les premières machines à réparer arrivent
Les missions proposées sont assez représentatives de ce qu'un assembleur peut rencontrer : passage d'antivirus, changement d’alimentations, upgrade gaming, remplacement d'un disque dur voire dépoussiérage. Bien sûr, tout cela permet d'engranger de l'argent, qu'il va falloir dépenser au mieux. On parlait des achats de composants et des factures, mais il existe un autre domaine de dépenser : l'upgrade du magasin. En effet, investir dans du mobilier supplémentaire, avec écran et périphériques dédiés, permettra de travailler plus rapidement, comme dans la vraie vie, là encore : moins de débranchements et de rebranchements, car oui, le jeu simule aussi toutes ces activités, peu passionnantes, mais pourtant obligatoires.

Level Up !
Le titre propose un système de niveaux, basé sur l'argent récolté. Plus vous faites de dépannages et d'upgrades, plus vous augmentez de niveau. Cela débloque au fur et à mesure plusieurs choses. D'une part, le catalogue de pièces s'étoffent. Ainsi, si au départ, on ne peut monter que de l'intel, AMD arrive rapidement à l'inventaire. D'autre part, le système propose au fur et à mesure des nouveaux logiciels, qui seront indispensables pour mener à bien certaines réparations, mais qui coutent assez chers. Il existe aussi différentes options, non réalistes cette fois, qui permettent de visser les vis automatiquement, ou de faire le câblage tout seul. Au bout du trente ou quarantième PC traité, cela peut paraitre une bonne idée. Le tout va donc être d'investir judicieusement, avec toujours le loyer et les factures à payer en ligne de mire.

3D Mark !
Les PC embarquent l'Omega OS, le système d'exploitation proposé dans le jeu. Il s'agit d'une version très simplifiée, bien évidemment, qui permet d'installer et d'éxecuter les utilitaires, dont le nombre croit au fur et à mesure des déblocages. A noter qu'une version de 3D Mark est même disponible, et elle permet de voir quelques scènes du benchmark Time Spy que l'on connait bien à la rédaction. Et un score est donné à la fin, bien évidemment.

Les items non réalistes à débloquer
Au final, ce mode de jeu vous occupera plusieurs heures, de préférence découpées en plusieurs sessions plutôt qu'en un seul gros bloc massif. En effet, si les missions confiées sont relativement variées, toutes supposent de commencer par démonter le panneau latéral du PC, ce que vous pourrez trouver rébarbatif au bout d'un moment. Une fois les principaux items débloqués, au niveau 8, il n'y a plus vraiment de challenge et le jeu tourne un peu en rond. Les artifices de vissage automatique ou autre du genre arriveront trop tard pour la plupart des joueurs. C'est surtout la dessus que le titre gagnerait à être enrichi.

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par Xpierrot Commenter
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