Graphismes

Par rapport au premier épisode qui tournait sur le moteur id Tech 5, les graphismes ont été revus à la hausse, même si ce n’est pas le plus beau jeu qui soit sorti sur PS4. Certains environnements, avec les effets de lumières, sont vraiment beaux avec un rendu propre à l’écran. Alors que d’autres – par exemple lors de flashbacks – semblent tout droit sortis d’une première version de développement. Le jeu utilise le moteur id Tech 6, celui de Doom notamment, et forcément cela donne des environnements plus travaillés avec un éclairage de toute beauté. Cerise sur le gâteau, le jeu tourne à 60fps en 1080p sur PS4 et PS4 Pro.

En ce qui concerne les personnages, il y a un léger mieux mais rien de transcendant. Si ce sont les graphismes top moumoute que vous recherchez, tentez plutôt la version PC. Au moins, le titre même s’il ne repousse pas les limites de la console, a le mérite d’être fluide et sans ralentissement. Je n’ai d’ailleurs rencontré aucun bug lors de mes parties.

Contenu

Comme dit en introduction, Wolfenstein 2 propose une campagne solo qui vous tiendra en haleine une dizaine d'heures, un peu plus si vous faites les missions secondaires. Le titre ne propose pas de multijoueur, certains s'en plaindront peut-être, personnellement ça ne m'a pas dérangé.

Vers la fin du jeu, vous aurez aussi la possibilité de libérer des quartiers dans les États-Unis, mais aussi de localiser des cibles importantes grâce aux documents secrets récupérés sur les agents Nazis – ceux qui déclenchent les alarmes – en les décryptant sur la machine Enigma disponible dans le quartier général du Marteau d’Eva. C’est surtout un ajout optionnel à la campagne solo, de quoi allonger un peu la durée de vie, mais cela n’a pas d’impact direct avec l’histoire ni sa fin.


On retrouve également nos précieux atouts, qui s’améliorent en même temps que notre compteur de frags. On peut également à nouveau améliorer nos armes via des kits d’améliorations disséminés à certains endroits dans les niveaux et sur le Marteau d’Eva. Bref, rien de nouveau de ce côté là, j’ajouterais juste que les menus sont assez austères, mais bon on y passe pas non plus sa vie dedans.

Sans oublier une tonne incalculable de collectibles à dénicher un peu partout, qui sont surtout là pour les plus perfectionnistes et les chasseurs de trophées.