L'emballage de la FSP est vraiment massif et il met bien en avant les atouts de cette alimentation. La packaging est dans les tons dorés, pour rappeler la certification Gold de l'alim. À l'avant on a une belle photo, et à l'arrière, on les caractéristiques techniques, avec de beaux graphiques. On pourra également noter que le constructeur communique sur les longueurs des câbles fournis. C'est effectivement une information pertinente, il est assez rageant de ne pas pouvoir utiliser le système de gestion des câbles de son boîtier parce que le câble est trop court de 5 mm et qu'on ne le savait pas.


A l’intérieur, on découvre enfin la bête, et ses accessoires. L'Hydro G étant 100 % modulaire, il n'y a pas vraiment de surprise de retrouver un ensemble de 9 câbles. :

• Câble ATX 24 broches
  
• Câble EPS 8 broches
  
• 2 câbles PCI-E 8 broches
  
• 2 câbles Sata/Molex
  
• Câbles Sata
  
• 2 câbles Sata/Molex floppy

Mais on trouve également :

• Manuel
  
• Câble 220 V
  
• Vis à main noires
  
• Stickers

Les stickers sont en fait de 2 couleurs. D'un côté, on un chouette dragon rouge, à utiliser pour les fans d'AMD, de l'autre, les aficionados de Nvidia devront se contenter de simples éclairs verts. L'idée est intéressante en soit : pour une fois que les stickers présents avec les produits ne sont pas juste des goodies mais ont un vrai « usage ».

Regardons maintenant l'Hydro G de plus près, une fois sortie de son sachet plastique. L'alim est globalement noire — couleur préférée des gamers — et son design est assez travaillé, avec notamment une grille de protection du ventilateur asymétrique. Cela montre qu'on peut faire une alimentation qui change un peu de l'ordinaire.


Sur le dessus, on découvre le « petit » ventilateur de 135 mm, à l'arrière un bouton ON/OFF est heureusement présent et à l'avant, on voit moult connecteurs pour les câbles optionnels.

Passons maintenant à l'installation.