Cela fait déjà plusieurs mois que j'utilise une Sensei Raw dont le gabarit est assez proche. Je suis habitué à des souris légères et courtes, plutôt adaptées à des petites paluches. Avec la FK2, je trouve immédiatement mes marques. Par contre, si vous avez de grandes mains, ce n'est peut-être pas l'idéal.

La forme « ambidextre » et assez classique est également un gros atout de la FK2, puisque la souris se prête à tous les usages, de la bureautique aux jeux, et fera aussi bien le bonheur des droitiers que celui des gauchers.

Certains y verront là un avantage, d'autres un inconvénient. Toujours est-il que l'absence d'un pilote modifie un peu les usages habituels. Pas de logiciel à installer, pas de paramètres à configurer, pas de profils à créer ou importer pour vos différents jeux. Pour un joueur qui n'exploite pas les options de ce type de pilote, son absence n'est pas du tout gênante. Car l'essentiel reste là : le réglage de la sensibilité, de la fréquence de transfert et la possibilité de basculer entre les boutons de pouce à gauche et à droite  –  tout ça par une simple combinaison de touches, à même la souris.

A l'usage, la FK2 confirme également les différentes remarques positives que nous avons formulées dans les pages précédentes. La qualité de glisse est très satisfaisante et les boutons répondent très bien  –  y compris dans le feu de l'action (Left 4 Dead 2, Medal of Honor).