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L'Amiga 500, sorti en 1987
Pour mettre en avant le contenu de nos Fiches de jeux (l'une des plus importante base de données au monde sur les FPS), nous avons décidé de créer une petite rubrique intitulée « Zoom ». Cette dernière va nous permettre de faire des plongées thématiques dans nos fiches de jeux histoire d'en faire ressortir des trésors enfouis, oubliés et inconnus du grand public. Ces jeux dont tout le monde à oublié l'existence, nous ne les oublions pas. Cette semaine, notre zoom est entièrement dédié aux FPS sortis sur Amiga, le meilleur ordinateur personnel des années 1985-1994. Les FPS sur Amiga n'étaient pas tous des succès, la machine pouvant difficilement concurrencer les PC de l'époque à cause de la lenteur de son processeur. Il n'empêche que dès l'apparition de ce nouveau genre, les développeurs de jeux sur Amiga vont s'en emparer pour développer ce qu'on apelle encore à l'époque des « Doom-like » ou des « Doom-clones ».

Alien Breed 3D

Le passage de la série Alien Breed en 3D
Comme son nom l'indique, Alien Breed 3D marque le passage de la série Alien Beed dans le monde de la 3D avec pour la première fois une vue en première perspective. Il s'agit du quatrième jeu de la Team17 exploitant la licence Alien Breed, une série de shooters largement inspirée des films Alien. Il s'agit du premier jeu de Team17 qui n'ai pas été auto-édité.
Le jeu propose 16 niveaux ainsi que la possibilité de jouer en multijoueurs. AB3D joue sur le côté terrifiant, aussi bien sur l'aspect sonore que sur l'atmosphère claustrophobe (il n'est pas rare par exemple de tomber à court de munitions). Le jeu n'est pas exceptionnel, mais il s'agit d'un bon clone de Doom (comme on les appelait à l'époque), plutôt bien reçu par la communauté, ce qui a poussé son développeur a créer une suite.

Alien Breed 3D II : The Killing Grounds

AB3D2 est la dernière sortie de Team 17 sur Amiga
Alien Breed 3D II : The Killing Grounds est la suite d'Alien Breed 3D, sorti un an plus tôt. Le jeu est toujours développé par Team17, et il s'agit là de leur dernière sortie sur Amiga. Après s'être échappé de manière cauchemardesque d'Orisis III, le Commandant Reynolds est tombé dans le coma. Il se réveille en toute sécurité dans une unité médicale d'un croiseur interstellaire de combat, et il se trouve encore une fois en contact des aliens, mais cette fois sur leur terrain... Le jeu propose 16 niveaux dans trois environnements différents. Le jeu propose aussi un éditeur de niveaux, mais il est sorti particulièrement bogué et extrêmement mal documenté, le rendant impossible à utiliser. Le jeu lui-même est d'ailleurs très mal optimisé et demandera un Amiga haut de gamme pour jouer en mode plein écran. De fait, le jeu est visuellement plutôt agréable avec un meilleur moteur graphique bénéficiant d'un éclairage totalement repensé, de nouveaux models pour les armes et les ennemis, etc. Déjà réputée pour son niveau de difficulté élevé, la série Alien Breed passe un nouveau cap avec The Killing Grounds, qui est vraiment d'une difficulté démentielle, à laquelle il faut ajouter l'impossibilité de sauvegarder dans les niveaux. La configuration recommandée et le niveau de difficulté ont valu au jeu de très mauvaises reviews dans la presse spécialisée à sa sortie.

Breathless

Breathless, l'un des meilleurs FPS exclusifs à l'Amiga
Breathless est sans aucun doute l'un des meilleurs FPS exclusifs à l'Amiga. Sur la planète Terre dominée par une race alien puissante et cruelle, l'humanité lutte pour survivre. Peu d'hommes, mal équipés et sans rien d'autre à perdre que leur vie, s'organisent pour former des groupes de résistance afin de rendre la colonisation de la planète difficile par les aliens. A ces groupes de résistance viennent peu à peu s'ajouter d'anciens militaires qui partie de l'armée qui a lutté pour la défense de la Terre, mais qui a été vaincue lors de l'invasion des aliens.
La résistance arrive parfois à porter de sérieux coups aux centres de commandement vitaux des aliens, mais au prix fort. C'est ainsi que de nombreux résistants perdent la vie au cours des assauts, et certains sont capturés. Le sort de ces derniers n'est pas plus enviable puisque les aliens se servent des prisonniers pour organiser des combats à morts afin de se divertir. Les humains capturés sont transformés génétiquement et mécaniquement par des greffes bio-mécaniques. Ces combats à mort sont organisés dans des arènes où les humains luttent contre des adversaires de races et de planètes différentes également soumises à la race alien. Quand les guerriers arrivent à survivre aux combats, ils montent en grade et sont transportés dans un nouveau monde avec de nouveaux adversaires. A la fin du cheminement, le guerrier qui survivra à toutes les épreuves aura l'honneur de combattre contre les troupes les mieux entrainées de la race alien.

Behind The Iron Gate

L'un des premiers FPS sur Amiga
Ce jeu est l'un des pionniers dans le style des clones de Doom sur Amiga 500, ce qui est plutôt honorable. Ses couleurs monochromes en font un jeu plutôt monotone et son gameplay en fait un jeu plutôt ennuyant. Le but du jeu est en effet similaire à Doom, c'est à dire chercher des clés pour ouvrir des portes qui étaient précédemment closes afin de progresser dans le niveau. Le nombre d'images par secondes est assez bon, mais les développeurs ont dû sacrifier des éléments graphiques pour arriver à ce résultat, c'est à dire que le jeu ne possède pas de textures aux sols et aux murs.

Death Mask

Même en solo, l'écran reste scindé
Le jeu se déroule en l'an 9030 sur une planète nommée Hiba. Trente ans après une explosion thermonucléaire, vous avez commencé à reconstruire la planète avec ce qu'il restait des décombres des bâtiments d'avant l'explosion. Mais des aliens ont décidé de recoloniser cette planète que votre race avait commencé à reconstruire. Une force d'élite humaine baptisée THE DEATH MASK (le masque de la mort) est chargée de protéger l'empire en plein développement. Vous contrôlez deux agents du Mask, Hiram et Seth, dans une série de missions à travers différents niveaux pour protéger la planète et repousser les envahisseurs aliens. La force du jeu est de proposer un mode de jeu coopératif, mais cet effort est en grande partie ruinée par les contrôles du jeu qui sont tout simplement insupportables.

Fears

La scie circulaire, voilà une vraie arme
Fears a été développé par une équipe française issue de la scène des démomakers (Gencis, Made, Clawz, etc.) — ils ont d'ailleurs gagné le concours de démo à « The Party 1996 » au Danemark avec une démo intitulée Shaft 7. Fears est un jeu de tir à la première personne vous faisant incarner une personne kidnappée par un scientifique fou voulant faire des expériences. Parvenant à vous échapper, vous devrez vous frayer un chemin pour vous enfuir du château (dans trente niveaux que vous pouvez parcourir avec trois niveaux de difficulté différents) affrontant au passage les créatures créées par le scientifique. Techniquement, le jeu n'a rien à envier aux autres FPS de l'Amiga, mais le gameplay du jeu est assez ennuyeux et les contrôles horribles. Ajoutez à cela un level design assez inégal et une IA totalement dépassée, et vous obtenez un jeu qui a peiné à s'imposer, d'autant plus qu'il est sorti en 1995. La seule arme vaguement mémorable du jeu était la scie circulaire, l'une des meilleures armes de mêlée d'un FPS. Par contre, le jeu proposait un éditeur de niveaux assez complet et des graphismes acceptables qui ne souffraient pas de ralentissement. Étrangement, le jeu a connu un accueil très inégal à sa sortie, avec des notes allant de 40% à 92% dans la presse spécialisée.

Genetic Species

Genetic Species est plus qu'un clone de Doom
Genetic Species est sorti alors que le marché de l'Amiga était déjà mort (Commodore International a fermé ses portes en 1994), ce qui explique les faibles ventes du jeu. Le jeu propose un bon équilibre entre aventure et action pure. Genetic Species n'est pas un clone de Doom comme on a pu en voir fleurir dans les années 1990 puisqu'il propose quelques idées de gameplay originales et notamment la possibilité pour le personnage principal de prendre le contrôle de n'importe quel personnage rencontré dans le jeu. Les graphismes sont plutôt impressionnants pour de l'Amiga, et le jeu nécessite donc une machine avec un processeur 68040/68060 pour tourner correctement (avec un 68030, il faudra réduire le niveau de détail et la résolution) et au moins 6 Mo de Ram. Mais c'est avec une carte graphique additionnelle que le jeu montrera tout son potentiel. A noter qu'en 2005, le jeu est devenu un freeware, et qu'il est donc à ce titre disponible gratuitement.

Gloom

Gloom, le FPS venu d'Allemagne
Ironiquement, le premier vrai FPS pour amiga (Gloom étant sorti avant Alien Breed 3D) est venu d'Allemagne. Ironie, car les lois allemandes sont très restrictives avec ce genre de jeux. Souvent considéré comme l'un des meilleurs FPS sur cette plateforme, Gloom possède un mode multijoueurs qui peut se joueur en écran partagé ou via une connexion modem. Gloom a été très bien reçu à sa sortie, proposant un gameplay très orienté vers l'action, le fun, sans délaisser le côté aventure et découverte (de nombreuses zones cachées sont disséminées dans les niveaux). Le jeu a connu une version Deluxe, proposant plusieurs résolutions d'écran possibles.

Jurassic Park

Les phases d'action du jeu sont en vue FPS
Vous incarnez Dr Alan Grant et débutez le jeu juste après que les dinosaures aient franchi les barrières de sécurité du complexe. Vous débutez le jeu juste à côté de votre jeep accidentée et devez retrouvez les petits enfants de Hammond, Lex et Tim, et les guider jusqu'à un endroit sûr. Si vous débutez en vue du dessus, comme beaucoup de shooters de l'époque, les phases d'action en intérieur sont un peu différentes. En effet, en intérieur le jeu change radicalement de style pour adopter une vue subjective, qui représente environ 60% du jeu. Les phases en vue à la première personne sont vraiment bien foutues et fluides, ce qui est assez rare pour le support. Pour se faire, les développeurs ont dû faire quelques concessions et notamment une fenêtre de jeu assez petite (comparée au HUD qui occupe trois quart de l'écran). En plus, la musique rend ces moments encore plus angoissants.

Nemac IV

De l'Akimbo !
Nemac IV est arrivé à la fin de la vague des clones de Doom sur Amiga, ce qui le rend un peu plus original que les FPS de sa génération. Il propose 40 niveaux qui sont immenses et impressionnants graphiquement mais finalement un peu redondants. Développé par un studio allemand ayant traduit les textes du scénario en anglais par ses propres moyens (à l'époque, on avait même pas les outils de traduction, alors les « all your base are belong to us » étaient légion), le scénario est resté un peu obscur pour moi ; En gros, une sorte de réseau informatique contrôlé par une IA se sentant en danger a déployé une armée entière de robots de sécurité pour se protéger. Vous contrôlez donc une sorte de robot qui doit détruire les défenses du réseau et rétablir la paix dans le monde. Dès le début du jeu, vous débutez avec trois armes (plasma gun, chain gun et grenade launcher) et ce dernier vous proposera d'utiliser les trois à la fois !

Project Intercalaris

Déjà, les FPS polonais...
Project Intercalaris est un FPS de science fiction sorti sur Amiga. Développé par le studio polonais TSA, il a été également édité par les polonais de Mirage Interactive, qui étaient alors dans leur âge d'or, au milieu des années 1990. Project Intercalaris est le seul FPS a tourner sur un Amiga 500, alors que les autres requièrent au moins un Amiga 1200. Le jeu est resté assez confidentiel, et son gameplay plutôt catastrophique n'y est sans doute pas étranger. Je n'ai jamais joué à Project Intercalaris plus de cinq minutes, le jeu étant entièrement en polonais et l'intelligence artificielle des ennemis assez catastrophique. Par exemple, le premier ennemi croisé dans le jeu ne cesse de se coincer dans un bidon planté dans la pièce...

Quake

Quake permet de faire du cross-plateform
La version Amiga de Quake a été développée par ClickBoom Software et est sortie en 1998. Révolutionnaire pour son époque, Quake apportait une multitude d’innovations. C'était véritablement l'arrivée du premier moteur 3D complexe. En effet, dans Quake, les joueurs peuvent regarder dans toutes les directions et dans tous les angles (et non plus seulement sur les côtés). Les décors sont travaillés et complexes et les ennemis ne sont plus de simples sprites mais de vrais objets 3D animés. Bref, Quake, c'est le grand luxe et le faire sur Amiga était un terrible défi, surtout à une époque où beaucoup croyaient déjà l'Amiga, en tant que machine ludique, morte et enterrée par la concurrence. Avant le développement de cette version « officielle », des fans avaient déjà commencé à bidouiller pour porter Quake sur Amiga. C'est ainsi que CoolQuake ou AmigaQuake tournaient déjà relativement bien sur un Amiga équipé d'un processeur 68060/50 MHz avec AGA, en diminuant la fenêtre de moitié. Quake sur Amiga a été presque entièrement réécrit en assembleur à partir de sources données par Id Software. C'est ainsi que toutes les extensions et niveaux supplémentaires créés pour Quake sont entièrement compatibles avec Quake Amiga. Ce port Amiga est identique à la version PC, rien n'a été changé et rien n'a été ajouté. Notons toutefois que le mode multijoueurs de Quake fut le premier qui permis aux joueurs PC, Amiga et Mac de s'affronter sur les mêmes serveurs.

Space Hulk

Space Hulk mêle habilement jeu de stratégie et FPS. Mais attention au niveau de difficulté...
Space Hulk a pour background l'univers Warhammer 40000 et il est directement adapté du jeu de plateau éponyme sorti en 1989. Il s'agit d'un mélange de jeu de stratégie et de FPS. La campagne solo propose 21 missions articulées autour de cinématiques qui racontent l'histoire. En plus de la campagne principale, le jeu propose un mode de jeu baptisé « Space Hulk Original » qui reprend les missions du jeu de plateau (le jeu ne propose 51).
Depuis des millénaires, les escouades de Terminators de l'Empire patrouillent l'espace impérial à la recherche des formes extra-terrestres pour les exterminer avant qu'elles ne gagnent une position trop dominante. Depuis quelques années, les Terminators luttent contre une menace qui, si elle n'est pas anéantie, risque de détruire l'espèce humaine. Les Genestealers sont arrivés à bord d'épaves spatiales dérivant dans l'espace, les Space Hulks. Les restes de ces vaisseaux autrefois fiers et puissants ont servi de champ de bataille sur lesquels ces monstres ont traqué les humains envoyés pour les exterminer. Inlassablement, les sections de Terminators ont débarqué dans ces Hulks pour se retrouver rapidement encerclées et surclassées en nombre. Mais elles savent survivre malgré tout. N'oubliez jamais que sous chaque armure meurtrie se cache un Space Marine, qui ne souhaite que 2 choses : détruire le mal et délivrer ses compagnons de la menace qui plane sur eux. Space Hulk est avant tout un jeu de stratégie. Il nécessite d'alterner entre la vue carte stratégique où il sera possible de programmer chaque Terminator pour effectuer différentes actions (se déplacer, se mettre en position de surveillance, ouvrir/fermer une porte, etc...) et la vue temps réel où 5 caméras vous permettront de voir les vaillants soldats de l'Empereur en pleine action (c'est ces phases là qui se déroulent en vue à la première personne). Le bouton pause sera la chose à gérer le mieux possible. Activé, le jeu est en pause et vous pouvez donner vos ordres sans risquer d'être attaqué. Mais attention ! Une jauge va décroître pendant son utilisation et une fois vide... Le temps réel reprend ses droits ! Il faut savoir que lorsque vous êtes en temps réel, cette fameuse jauge de pause se régénère. Malgré cette possibilité, la difficulté du titre se révèle quasiment insurmontable et les novices se casseront souvent les dents sur le titre. Ajoutez à cela qu'il ne propose pas de s'installer sur le disque dur, et vous devrez alors changer constamment entre les trois disquettes du jeu, vous coltinant à chaque fois les temps de chargement.

Testament

Testament débute en extérieur
Testament ressemble pas mal à Wolfenstein 3D (même architecture des niveaux, même gameplay simpliste). Lors de sa sortie, le jeu a obtenu une bonne critique dans le magazine Amiga Format, essentiellement car il était en 3D et très bien fini, en comparaison d'autres titres de la plateforme. Néanmoins, le titre est un peu ennuyant sur la longue, puisqu'il ne propose que peu de variété. Il faut se promener dans des labyrinthes pour trouver des clés de couleur qui ouvrent des portes afin de trouver des morceaux de testament.

Testament II

La suite de Testament
Comme son nom le laisse présager, Testament II est la suite de Testament, sorti sur Amiga en 1997. Le code et les sons ont été réalisés par Filip Doksanský, les graphismes par Petr Kadleek et la musique par Jirka Horáek. Le jeu reprend le même principe que Testament, mais en améliorant certains points comme les graphismes, l'IA, en ajoutant des passages secrets et des téléporteurs. Le jeu comprend une vingtaine de niveaux et de nouveaux ennemis comme des fantômes. Le jeu nécessite un A1200, avec 2Mb de chipram, et un disque dur pour fonctionner, mais au moins le double de ram est recommandé pour jouer dans de bonnes conditions. Le jeu était initialiment prévu pour sortir de manière commerciale en juillet 1998, et avait même un éditeur avec APC&TCP qui était prêt à signer cette suite, mais pour des raisons inconnues, les développeurs ont préféré le sortir en tant que shareware, un peu plus tard dans l'année.

Ultimate Gloom

Ultimate Gloom, basiquement la même chose que Gloom
Aussi connu sous le nom de Gloom 3, Ultimate Gloom propose le même moteur graphique que celui de Gloom, légèrement amélioré et avec de nouvelles textures. A sa sortie, le jeu était déjà largement dépassé par la concurrence, d'autant qu'en plus de ses graphismes dépassés, le jeu propose des sons affreux. Le jeu a été développé par une seule personne, Gareth Murfin. A noter qu'en 1997 est sorti Gloom 3 : Zombie Edition qui est une extension à Ultimate Gloom proposant de nouveaux ennemis et de nouveau niveaux.


NB : Nous avons volontairement exclu de cette liste tous les jeux portés sur Amiga de manière non-officielle et les conversion open-source (Doom, Doom 2 : Hell on Earth, Heretic, Hexen, Wolfenstein 3D, etc.) ainsi que les RPG à la première personne (comme Trapped et Trapped II).
par utr_dragon 7 commentaires, dernier par Anti
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Commentaires

Zork

Webmaster
Nb msg : 1847
(#1) 30 janvier 2012 à 01h03
As-tu déjà eu un Amiga entre les mains Tim ? Moi j'ai commencé sur PC à l'âge de 6 ans. Un bon 286 avec 16 couleurs !!
Webmaster et fanboy id Software.
utr_dragon

Rédacteur en Chef/Dieu
Nb msg : 2502
(#2) 30 janvier 2012 à 08h34
J'en ai jamais eu à la maison (on était pas bien riches à l'époque), mais j'allais chez des potes pour jouer. J'ai pu me rattraper rétrospectivement.
No comment !
Guly

guili guili
Nb msg : 248
(#3) 30 janvier 2012 à 09h58
Quand je vois les jeux, je me demande comment on y jouait à l'époque
Bonjour la crise d'épilepsie.
L'obéissance engendre la discipline,
La discipline engendre l'unité,
L'unité engendre le pouvoir,
Le pouvoir, c'est la vie.
Xpierrot

Responsable Hardware de Zeden
Nb msg : 1500
(#4) 30 janvier 2012 à 10h09
J'ai commencé avec un Amstrad PCW 1512. Et y avait meme pas de couleurs. Le 286 est venu après, puis le 386
Marchez doucement car vous marchez sur mes rêves
AmiDARK

Nouveau
Nb msg : 1
(#5) 20 mars 2012 à 15h01
Petite informations.
Oubli d'un jeu en 3D très intéressant sorti sur Amiga : Robinson's Requiem
http://www.legendra.com/rpg/fiche-rpg_id-3915-supports_id-25-so-fiche.html
utr_dragon

Rédacteur en Chef/Dieu
Nb msg : 2502
(#6) 20 mars 2012 à 15h19
Salut AmiDark, il ne s'agit pas d'un oubli, Robinson's Requiem a volontairement été retiré de la liste, puisqu'il s'agit d'une sorte de survival horror doté d'éléments de jeu de rôle qui se joue à la première personne, et non d'un shooter à proprement parler.

J'en profites pour rajouter que c'est DotEMU qui possède maintenant la licence du jeu (qui est en vente sur leur site).
[Édité par utr_dragon le 20/03/2012 à 15h24.]
No comment !
Anti

pasti
Nb msg : 238
(#7) 20 mars 2012 à 16h15
Mon frangin avait eu l'amiga 500 à l'époque . J'étais tout jeune , mais je ne me souvient pas avoir eu un fps sur cette plateforme . Par contre , les jeux comme " retour vers le future" ou les shoot them up était légion chez nous ^^

Il aura fallut attendre le PC de duke nukem 3D pour qu'on goûte aux petits plaisir du FPS !

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